ST/DI/SP (97-69)
14 octobre 1997
Compte rendu n° 13
de la réunion des chefs de groupe ST
du 7 octobre 1997
Présents : J. L. Baldy - R. Bellone - R. Charavay - A.
Charkiewicz - P. Ciriani - A. Lecomte - J. Pasquali - S. Prodon - A. Scaramelli
- M. Wilhelmsson
Excusés : P. Chevret - J. Roche
Invités : J. Inigo-Golfin - H. Laeger
1. Adoption du compte rendu n° 12
Le compte rendu n° 12 est approuvé sous réserve de la
modification suivante :
-
Point 3 « FC et Comité du Conseil », page 2, 1er paragraphe,
il fallait lire : « Le Directeur Général a organisé
jeudi 25 septembre, .... »
Nota : dernier paragraphe de la page 1, au sujet de l’échelon
qui pourrait être accordé à 2 dates différentes,
il faut comprendre que l’échelon sera accordé soit au 1er
juillet, soit au 1er janvier de l’année suivante, en fonction de
la performance.
2. Nouvelle procédure EDH pour la formation (H. Laeger)
H. Laeger rappelle qu’une nouvelle procédure de signatures via EDH
doit être mise en place prochainement.
J. M. Saint-Viteux propose le choix entre 4 types de routage (voir mail
annexé) :
|
Proposition
|
Inconvénients (selon J.M. Saint-Viteux)
|
1 |
Signature du chef de groupe uniquement (procédure actuelle) |
-
Risque que le superviseur ne soit pas informé et/ou pas d’accord
-
Contradiction avec le MOAS (c’est le superviseur qui fixe les objectifs
de formation)
|
1 bis |
Signature du chef de groupe et E-Mail envoyé au superviseur |
-
Risque que le superviseur ne soit pas d’accord
-
Contradiction avec le MOAS (c’est le superviseur qui fixe les objectifs
de formation)
|
2 |
Signature du superviseur uniquement |
-
Risque que le chef de groupe ne soit pas informé et/ou pas d’accord
|
2 bis |
Signature du superviseur et E-Mail au chef de groupe |
-
Risque que le chef de groupe ne soit pas d’accord
|
3 |
Signature du superviseur et du chef de groupe |
-
Procédure longue
-
Risque de blocage, notamment pendant les vacances
|
4 |
Signature du superviseur ou du chef de groupe selon le nombre de jours
(c’est à dire selon le budget à engager) |
|
A. Scaramelli demande leur avis à chacun des chefs de groupe.
A l’unanimité, la proposition n° 3 (signature du
superviseur et du chef de groupe) est adoptée.
En réponse aux objections de J.M. Saint-Viteux, les chefs de
groupe estiment :
-
Qu’une demande de formation est un acte mûrement réfléchi
qui ne doit donc pas être demandé la veille pour le lendemain.
La prétendue longueur de la procédure n’est donc pas un obstacle.
-
Qu’il n’y aura aucun blocage si les superviseurs et les chefs de groupe
entrent leur absence sur EDH avant de partir en vacances ; d’ailleurs le
système EDH prévoit toujours une voie de recours.
En ce qui concerne la formation externe, le routage secrétaire de
division puis DTO ne soulève pas d’objections. En effet, le DTO
ne doit pas constituer un verrou administratif.
La discussion s’engage ensuite sur le rôle du DTO. Il doit être
principalement de coordonner la politique de la division en amont et de
repérer les personnes qui ne se forment pas.
A. Scaramelli souhaiterait avoir des statistiques en temps réel
sur les demandes de formation pour pouvoir en discuter au cours de la réunion
des chefs de groupe. H. Laeger lui confirme qu’avec le nouveau système,
c’est tout à fait possible.
3. Matters arising from the last meeting
La date limite pour bénéficier de la prime (possibilité
de report de jours de congés ou de compensations de 1997) est reportée
au 17 octobre (date de signature de la personne).
La plupart des secrétaires de groupe se sont inscrites au cours
Word.
A. Scaramelli les invite d’ailleurs toutes à s’inscrire également
à un cours sur le nouveau mail via Netscape. Il est en effet indispensable
qu’au moins une personne de chaque groupe maîtrise parfaitement ce
nouvel outil.
D’autre part, A. Scaramelli conseille à tous les jeunes de la
division de s’inscrire à des cours sur « comment s’exprimer
en public ».
-
Manuel des règles financières intérieures
Faute de suffisamment d’exemplaires disponibles à la division des
finances, le manuel n’a été distribué pour l’instant
qu’aux chefs de groupe. La commande est passée pour le reste des
exemplaires.
La diffusion de ce manuel doit être la plus large possible.
P. Ciriani indique qu’un résumé des procédures
d’achat est disponible sur le Web à la page de la division SPL (ou
adresse : http://www.cern.ch/CERN/Divisions/SPL/FC/SUMMERY-FR.html).
A. Scaramelli cite un exemple flagrant du manque d’information sur les
règles financières du CERN. Il évoque un cas récent
où, pour un appel d’offres mineur, une entreprise extérieure
a rédigé la spécification technique, a répondu
à l’appel d’offre et a finalement remporté le marché.
Un tel scénario est inadmissible. A. Scaramelli encourage
les chefs de groupe à contrôler au plus près la rédaction
de leurs spécifications afin qu’un tel cas ne se reproduise plus
à l’avenir. A. Scaramelli avertit que la prochaine fois, il y aura
des sanctions.
Les spécifications mineures doivent être impérativement
rédigées en interne.
P. Ciriani rappelle d’ailleurs qu’à partir de la filière
IV, chacun est sensé être capable de rédiger une spécification
technique.
M. Wilhelmsson présente les demandes de la division ST (voir document
annexé).
Le groupe CV demande une licence EUCLID, une licence complète
PROSYS, 3 licences Autopipe (ce système n’est pas satisfaisant et
une autre solution est à l’étude), 2 écrans 21’’ pour
Autocad et une imprimante couleur AO.
En ce qui concerne le groupe CE, les besoins sont d’une licence EUCLID
et d’un écran 21’’ pour Autocad.
Enfin, le groupe TFM demande une licence complète PROSYS, une
licence Autopipe (ce système n’est pas satisfaisant et une autre
solution est à l’étude), 2 licences « VECTOR »
et un écran 21’’.
A. Caldérone a débarrassé les stockages du groupe
ST-HM.
En ce qui concerne le groupe CV, l’inventaire n’est pas encore terminé.
4. Pin code policy (P. Ciriani)
P. Ciriani présente la situation des GSM et des téléphones
câblés sur l’ensemble du CERN.
Il estime qu’il n’y a pas d’abus au niveau de ST. Les pin codes sont
demandés lorsqu’il y a un réel besoin. Sinon, les autres
passent par le standard.
Au niveau du câble, les vérifications faites par échantillons
montrent qu’il n’y a pas d’abus. Il n’en va peut-être pas tout à
fait de même avec les GSM. Le groupe MC va d’ailleurs effectuer prochainement
une opération coup de poing sur les GSM. P. Ciriani précise
également que son groupe dispose de la liste de tous les appels
passés depuis les GSM et les téléphones câblés.
P. Ciriani rappelle également que la possibilité de téléphoner
à la maison est un droit acquis sur le téléphone normal
mais pas sur le téléphone mobile. Ceci coûte d’ailleurs
au CERN près de 600 000 CHF par an.
A. Scaramelli estime que des cours d’utilisation du GSM devraient être
mis en place. Ceci a déjà été fait au niveau
des groupes dans plusieurs divisions.
P. Ciriani décrit les deux solutions pour utiliser son GSM de
façon privée :
-
Codes 20 et 21 : Après voir préalablement demandé
une autorisation auprès de J. P. Raphoz, il suffit de composer les
20 et 21 au lieu de 0 et 10 pour que l’appel soit considéré
comme privé. Le montant des communications privées est ensuite
prélevé sur le salaire (cette solution est valable aussi
sur le téléphone câblé).
-
Master privé : Le système est simple : le CERN paye
l’abonnement et l’utilisateur paye les communications. Cette solution est
intéressante car l’abonnement se monte à 50 CHF tandis que
le trafic normal des communications professionnelles se situe autour de
20 CHF.
En conclusion, les privilèges sur GSM doivent être accordés
à des personnes de confiance et en fonction de réels besoins
du service, à la discrétion des chefs de groupe et A. Scaramelli
signera toutes les demandes approuvées par les groupes.
5. Arbre des signatures (A. Lecomte)
Cette présentation est reportée à la réunion
du mardi 14 octobre.
6. Séminaire de la Mainaz (J. Inigo-Golfin)
J. Inigo-Golfin présente les grandes lignes des sujets abordés
au cours de ce séminaire (voir transparents annexés).
J. Inigo-Golfin déplore que les débats aient surtout été
axés sur la recherche et les accélérateurs.
Une proposition visait à mettre tous les autres secteurs dans
une seule unité intitulée « Services Généraux
». Il a même été question de sous-traiter ST
et EST. Les salles de contrôle devraient être rapprochées
géographiquement.
Les principales idées avancées sont :
-
un système basé sur le mérite et non sur l’âge
;
-
non automaticité de l’échelon : « totally satisfactory
performance », « partially satisfactory performance »
et « unsatisfactory performance » qui peut conduire jusqu’au
licenciement ;
-
possibilité de mise à la retraite obligatoire ;
-
revoir la structure de filières ;
-
grade lié à la fonction et réversible ;
-
possibilité de passage entre des fonctions de management et des
fonctions techniques ;
-
modification du MOAS : dissociation entre fixation des objectifs et évaluation
des performances ;
L’utilisation de « projects associates » est également
recommandée.
3 sujets ont été évoqués : la communication
hiérarchique, la communication horizontale et la communication vers
l’extérieur.
Il a été notamment mis en évidence la nécessité
d’une communication écrite des consignes hiérarchiques.
Il faudrait également en quelque sorte « forcer »
les gens à participer aux réunions hiérarchiques et
à communiquer.
Vis-à-vis de l’extérieur, il conviendrait d’améliorer
la qualité rédactionnelle des documents diffusés et
de renforcer la communication sur la zone locale.
Par ailleurs les remarques de P. Chevret sur ce même séminaire
sont distribuées aux chefs de groupe (voir document annexé).
A. Scaramelli présente ensuite les transparents de L. Foa sur
la nouvelle organisation de la recherche à partir du 1/01/98 (voir
annexes).
La fusion des divisions PPE et ECP donnera la nouvelle division EP
(Experimental Physics). L’objectifs est d’organiser cette nouvelle division
par projet plutôt que par métier ce qui se traduit par une
organisation en teams et en structures de support.
A plus long terme, la structure du CERN pourrait se décomposer
en 5 entités :
-
les accélérateurs : PS, SL et LHC qui ont une prise directe
avec le faisceau ; les salles de contrôle seraient inclues et proches
géographiquement les unes des autres tout en conservant leur spécificité
;
-
la physique : la nouvelle division EP ainsi que IT répartie dans
les teams ;
-
le secteur technique : ST, EST, le computing de service (AS & IT) et
la cryogénie ;
-
l’administration : service juridique, personnel, finance, relation Etats
Hôtes ,...
-
TIS : la division dépendrait directement du Directeur Général
et serait sous-traitée le plus possible (pompiers, inspection, contrôle
...)
J. Inigo-Golfin fait enfin remarquer que la division ST est mal perçue
par les autres divisions. Ceci provient d’une combinaison entre une certaine
méconnaissance et une mauvaise image donnée par les services
généraux (trop chers).
7. Divers
P. Ciriani explique que le programme des congés épargnés
est un réel succès sur l’ensemble du CERN : 1057 tranches
en date de vendredi 3 octobre (voir document annexé).
Certaines divisions ont des taux d’adhésion proches de 100%
(PS, SL).
Par contre, avec 39 participants, ST se situe au dernier rang.
Plus précisément, au niveau des groupes :
-
MC : 15 personnes
-
CV : 11 personnes
-
TFM : 8 personnes
-
HM : 3 personnes
-
CE : 1 personne
Des efforts devront être faits principalement dans les groupes CE
et HM. P. Ciriani reste à la disposition des chefs de groupe pour
une présentation du programme.
Un avant-projet de la circulaire 26 est distribué aux chefs de groupe.
A. Scaramelli attend leurs commentaires pour lundi 13 octobre.
Sylvie Prodon
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11/02/98