CERN/ST-DI/SP (2000-005) | 20 janvier 2001 |
Présents | : |
J.L. Baldy, P. Chevret, P. Ciriani, L. Henny, C. Jacot, G.
Kowalik, P. Ninin, J. Pedersen, S. Prodon, I. Ruehl, A. Scaramelli, M. Wilhelmsson / ST A. Charkiewicz / HR |
Invités | : |
R. Charavay / ST |
Excusés | : |
J. Roche / ST |
Le compte rendu nº 132 est approuvé sous réserve des modifications suivantes :
Il faut remarquer que seules 11 fausses alarmes se sont produites parmi les 3000
alarmes supervisées par la TCR. La vraie alarme est intervenue une heure après la
première fausse alarme.
6 alarmes provenaient d'équipements hors service; aucun d'entre eux n'appartenait à la
division ST.
Un accident board se tiendra prochainement sur cet incident. Les chefs de groupe intéressés sont invités à consulter le rapport "fact finding" à disposition auprès de S. Prodon.
Les travaux se déroulent normalement. Cependant, des problèmes de stockage et de non préparation de l'INB se posent.
La division ST n'est pas encore très engagée, mis à part le transport.
J.L. Baldy a besoin de connaître la date finale du démontage de l'expérience OPAL.
Le groupe génie civil a en effet demandé que la caverne soit libérée pour juin 2001.
Un trop grand décalage par rapport à cette date serait extrêmement préjudiciable. R.
Charavay soulèvera cette question lors de la prochaine réunion de démantèlement des
expériences prévue le 17 janvier.
J.L. Baldy se demande si les aspects INB et la traçabilité n'ont pas été
sous-estimés. Cependant, pour les expériences, la traçabilité doit être assurée
uniquement pour les pièces TFA.
Le groupe EL est pour l'instant le plus engagé. La mise en sécurite pour le démantèlement du tunnel est achevée, il reste encore les UJ à démonter.
Le nouveau planning a été dévoilé. Seul un glissement de 3 mois est à remarquer.
R. Charavay précise cependant qu'au point 2, sur demande du génie civil, l'UJ22 et le
RA23 seront remis plus tôt, ce qui impliquera des activités plus concentrées dans ces
zones.
R. Charavay ajoute que la continuité des activités sera garantie. Il faudra néanmoins vérifier s'il est judicieux de faire revenir les entreprises pour continuer les travaux du RA23 après décembre 2001.
R. Charavay demande que les problèmes ST soient solutionnés en interne, plutôt que d'être discutés dans des réunions extérieures. Il est également important que les représentants d'un même groupe partagent les mêmes idées vis à vis de l'extérieur. P. Ciriani suggère d'organiser des réunions préparatoires ST qui permettront faire le point avant les réunions publiques. Ceci sera très utile notamment pour les personnes qui ne sont pas habituées aux réunions de démantèlement.
Par contre la collaboration entre les groupes EL et TFM fonctionne très bien et leur concordance d'opinion leur donne du poids vis à vis de la division SL.
Les premiers exemples d'application des procédures INB de traçabilité se sont
manifestés dans la division SL. La procédure impose ainsi de compléter une fiche pour
chaque élément avec toutes ses caractéristiques techniques. Le problème majeur réside
dans la disponibilité du personnel pour assurer la saisie de ces données.
La division ST n'est pas concernée pour l'instant mais le problème risque de se poser
prochainement, notamment pour les pièces de maintenance. Il convient donc de commencer à
réfléchir au sein de la division sur la manière d'appréhender la traçabilité INB.
Ainsi, dans la division SL, un responsable pour la traçabilité a été nommé dans
chaque groupe. Plus qu'une organisation à mettre en place, il s'agit d'avantage de
changer la culture et les habitudes de travail. R. Charavay rappelle que les conséquences
en matière de personnel, de matériel (espace de stockage) et de temps ne sont pas
négligeables.
R. Charavay évoque le cas des contrats de transport et de gardiennage pour lesquels
des paiements ont été effectués avant le début du démantèlement, compte tenu des
alternoiements qui ont précédé la décision. Ces avances payées sur des codes ST
doivent être restituées aux groupes concernés par le projet de démantèlement du LEP.
De plus, le groupe HM dispose également d'une dette à recouvrir.
A. Charkiewicz fait le point sur les postes ouverts dans la division :
4 postes sont encore en attente de traduction.
G. Kowalik fait le point sur les papiers reçus à ce jour. Tous les papiers des groupes HM et CE ont été remis. Par contre, il manque de nombreux papiers pour les groupes CV et EL.
Côté invitations, de nombreux invités extérieurs n'ont toujours pas répondu.
A. Scaramelli suggère de faire le point sur le projet Water 2000 lors de la prochaine réunion. M. Wilhelmsson explique que les travaux avancent, après un démarrage difficile.
L. Henny a envoyé aux chefs de groupe la liste des personnes de leur groupe dont le
taux de présence aux cours de langue est inférieur au seuil de 80 %. A. Scaramelli
demande que toutes ces absences soient justifiées. Convoquer les personnes considérées
et leur demander des explications fait en effet partie des attributions du superviseur.
En outre, A. Scaramelli estime que le superviseur ne doit en aucun cas empêcher le
supervisé de suivre un cours programmé.
Il faut distinguer 2 types de profils : ceux qui ont besoin de prendre des cours et ceux qui en ont l'habitude. Il est important que les superviseurs fassent preuve de discernement.
P. Ninin rappelle qu'il est également essentiel de mesurer le résultat des cours.
C. Jacot indique que 21 plans de prévention ont été rédigés, mais seuls 1/3 ont été signés. En effet, les plans de prévention sont actuellement envoyés par ordre de service au travers du responsable du contrat, ce qui prend du temps. Afin de réduire au maximum les délais, C. Jacot suggère que les ordres de services soient envoyés directement aux firmes par L. Symons. Il est en effet indispensable de disposer des plans de prévention signés au plus vite car des inspections sont réalisées avec des autorités extérieures.
Cependant l'envoi d'un ordre de service à l'entreprise incombe uniquement au responsable du contrat. Ainsi, dès la signature du plan par le chef de groupe, celui-ci est envoyé à la firme qui est tenue contractuellement de le renvoyer dans les 5 jours. L. Symons est invité à maintenir la pression sur les chefs de groupe concernés.
C. Jacot présente une liste de 24 machines-outils de la division à mettre en conformité. Le coût de ces travaux est important pour du matériel souvent ancien. Il a donc été décidé que toutes ces machines seraient mises hors service et confiées au service de récupération sauf avis contraire du responsable de l'équipement exprimé avant le 19 janvier.
A. Scaramelli a transmis aux chefs de groupe des formulaires de demande d'étudiants espagnols ou portugais. Il rappelle que ces programmes peuvent être très intéressants pour les groupes.
Le routage EDH impose la mise en place d'une priorité de signature entre les deux adjoints. L'idéal serait que le routage s'effectue en fonction de la présence au CERN des adjoints. Il conviendra de s'assurer si ce type de routage est possible techniquement.
Suite au comité de spécification organisé le 15 janvier, il a été décidé de partager cet appel d'offres en deux.
D'autre part, la division TIS a demandé que les ponts roulants portent la norme CE. Cependant, si les ponts roulants répondent aux caractéristiques techniques spécifiées dans l'appel d'offres, il n'existe aucune raison valable d'exclure la firme à moins que la division TIS ne présente une note technique justificative.
S. Prodon
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