CERN/ST-DI/ec (2002-137) | 6 juin 2002 |
Présents | : |
J.L. Baldy, R. Charavay, P. Chevret, P. Ciriani, E. Cochet,
C. Jacot, B. Jenssen, J. Pedersen, P. Ninin, A.Scaramelli, M. Wilhelmsson |
Invités | : |
A. Charkiewicz / HR F. Skaar, U. Epting I. Bejar Alonso, C. Colloca |
Excusé | : |
I. Ruehl |
Le compte rendu nº 171 est approuvé.
F. Skaar a fait une étude sur la situation actuelle en matière d'ordinateurs dans la division (renouvellement du parc ces cinq dernières années, coût d'achat d'un ordinateur standard et d'un ordinateur portable neufs, coût estimé par année) et sur l'alternative du leasing des ordinateurs portables (en relation avec la division IT et sur recommandation de la division SPL).
L'objectif avec le leasing de l'ordinateur portable est, selon F. Skaar :
L'ensemble des participants n'a pas vraiment trouvé d'intérêt à cette solution de leasing sur 4 ans proposée par IT, qu'il trouve inappropriée au profil de la majorité des utilisateurs ST. La politique actuelle de la division étant de renouveler le quart du parc chaque année, tous les ordinateurs sont renouvelés sur une période de 4 ans. Il est estimé à environ 15% le nombre de personnes (principalement dans le groupe MA) qui pourraient justifier de l'utilisation de modèles toujours très performants. La possibilité d'un leasing direct avec une firme extérieure, sur une période de 18 mois, existe et pourrait être envisageable pour ce personnel.
Suite à la crise budgétaire, les groupes vont devoir payer les coûts d'intégration de leurs équipements dans la salle de contrôle dans un but de surveillance (voir description détaillée de l'intégration des alarmes et autres signaux, ainsi que le mode de calcul de coût sous : http://stmoin.home.cern.ch/stmoin/TCDcost/TCR_equip_integr.htm
Ce système est jugé intéressant, il permettra de sensibiliser chacun et d'éviter les avalanches de demandes. P. Ciriani précise que le calcul des coûts doit être transparent et qu'aucun bénéfice ne sera réalisé.
A. Scaramelli fait le tour des groupes pour connaître l'état d'avancement de leur
contribution au projet LHC.
P. Ciriani rappelle que le cost to completion n'est pas le coût final (par exemple le
génie civil doit payer les indexations) et qu'un chapitre ad'hoc doit expliciter tout ce
qui n'est pas couvert. Il montre aussi ce qu'est l"earned value" pour un projet
sous l'adresse : http://www.acq.osd.mil/pm/
Une discussion s'engage ensuite sur les "Work units". J. Pedersen, qui est pour l'instant le seul à avoir rencontrer L. Evans, P. Proudlock et P. Bonnal à ce sujet, explique que les groupes devront, pour contribuer au "Financial reporting" :
Cette tâche devra être faite aussi par CV, HM et MA. Le groupe DI devra contribuer en élaborant des templates et en aidant à l'harmonisation de la définition des work units. Le DPO devra fournir l'information concernant les engagements. L'unité OPC devra donner l'information relative au planning des work units et à l'avancement sur le terrain. Finalement il sera nécessaire que pour tous ces Work units soient définies les limites techniques, financières et de planning.
Cette tâche est-elle réaliste si l'on considère les contraintes temporelles imposées par le LHC ? C'est la question que se pose les chefs de groupe à la fin de la présentation de J. Pedersen. Pour clore le débat, A. Scaramelli décide d'inviter au prochain GLM P. Bonnal, P. Faugeras et R. Saban.
Il est demandé aux chefs de groupe d'examiner de façon critique, d'ici la 2ème semaine de juillet, les travaux de consolidation à réaliser et d'en établir une liste. Pour septembre, ils devront préparer un rapport précisant, pour chaque ligne, les conséquences (risques) si les travaux ne sont pas faits, ainsi que le coût de réalisation.
B. Jenssen présente le draft du budget 2003, qui est de l'ordre de 35 MCHF.
E. Cochet
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