CERN ST/DI/SP (97-97)
2 décembre1997
Compte rendu n° 20
de la réunion des chefs de groupe ST
du 25 novembre 1997
Présents : J. L. Baldy - R. Bellone - R. Charavay - A.
Charkiewicz - P. Ciriani - P. Chevret - A. Lecomte - S. Prodon - A. Scaramelli
- M. Wilhelmsson
Excusés : J. Roche
1. Adoption du compte rendu n° 19
Le compte rendu n° 19 est approuvé.
2. Matters arising from the last meeting
-
Comptes rendus sur le Web
Les comptes rendus des réunions des chefs de groupe, du GSTC et
du STTC sont désormais sur le Web.
A. Scaramelli regrette seulement que les "bookmarks" tirés de
ces pages soient tous identiques.
Le projet de plans 3D officiels avance.
J.L. Baldy travaille à ce sujet avec P. Faugeras. De nombreux
points restent encore à éclaircir : qui contrôle les
plans et comment ?, qui met à jour les plans ?, qui assure la maintenance
?, qui définit et valide la maquette officielle ? ....
Plus particulièrement, en ce qui concerne le lot 3, J.L. Baldy
souhaiterait que l'élaboration des plans 3D soit dévolue
à son groupe. Une réorganisation interne permettra d'absorber,
à partir de janvier 98, cette charge de travail supplémentaire.
Les dossiers pour les 15 demandes de postes sont en cours de préparation.
La publicité sera lancée dès qu'ils seront complets.
Les boards pourront commencer à partir de fin février.
A. Scaramelli rappelle qu'il y a encore 7 postes ST d'ouverts. Ils doivent
être pourvus rapidement.
A. Scaramelli s'interroge sur l'utilité d'une telle formation.
Les chefs de groupe considèrent au contraire que ce stage peut
être intéressant, notamment pour repérer et soutenir
les personnes stressées dans leurs groupes.
A. Scaramelli décidera dans quel cadre cette présentation
pourra s'intégrer : réunion des chefs de groupe, STTC ou
séance particulière.
3. Manpower Planning : compte rendu de la réunion du 21/11/97 (A.
Scaramelli & A. Lecomte)
A. Lecomte distribue des copies des transparents présentés
au cours de la réunion du 21 novembre 1997.
Il explique qu'il faudra faire également une planification pour
le matériel. La tâche devrait être plus aisée,
d'autant plus que les estimations en matière d'appui industriel
sont déjà faites.
A. Lecomte et A. Scaramelli détaillent ensuite le déroulement
de cette journée.
-
V. Hatton a entamé la réunion par une présentation
de l'outsourcing. Il a développé sensiblement les mêmes
arguments que lors de son intervention au cours de la dernière réunion
des chefs de groupe. La baisse brutale de l'appui industriel pour le secteur
des accélérateurs au profit du LHC a été contestée.
-
Le secteur de la recherche s'est aligné sur le plan tout en présentant
quelques suggestions pour satisfaire leurs besoins qui sont supérieurs
(ex : project associates).
-
F. Buhler-Broglin a présenté la planification pour le secteur
des accélérateurs.
-
Ce fut ensuite le tour de l'administration.
-
A. Lecomte a exposé le Manpower Planning pour le secteur technique.
Il n'y a pas eu de questions particulières.
Remarque : le secteur technique est le seul à avoir raisonné
sur l'appui industriel.
A. Scaramelli s'est engagé à baisser de 10% l'enveloppe
de l'outsourcing, misant sur des regroupements de contrats qui entraîneront
une meilleure efficacité.
-
Enfin, J.C. Gouache a expliqué longuement le principe du p+m.
Il convient de rappeler que l'hypothèse discutée au cours
de la réunion était la suivante :
Plan 96 - 2% + quotas des divisions pour
les RSL
4. Gestion des demandes de travaux (A. Lecomte)
A. Lecomte présente l'organisation à mettre en place pour
la gestion des travaux dits "au métré".
Le système CERN central permet désormais de gérer
parfaitement les contrats, l'application Gesmar n'est donc plus nécessaire
et devra être abandonnée si possible dès janvier 98.
Il faudra tout d'abord mobiliser les surveillants de travaux pour des
tâches de vérification contradictoire des métrés
sur le terrain. Une formation est d'ailleurs prévue. Les contrôleurs
devront également être déchargés de certains
actes administratifs.
Faute de personnel suffisant, les métrés seront vérifiés
par sondage.
P. Ciriani confirme l'efficacité de cette méthode qui
est utilisée dans son groupe pour le contrat de téléphone.
Dans son cas, un métré sur 5 est contrôlé sur
place.
A. Lecomte détaille ensuite la mise en place du processus :
-
devis établis en accord avec les deux parties;
-
OSVC dans EDH avec numérotation automatique;
-
métrés contradictoires sur le terrain;
-
facture établie par la firme;
-
contrôle de la facture par sondage;
-
circuit via le bureau des factures;
-
regroupement (pour établissement de statistiques) et archivage des
métrés au niveau de ST/DI.
R. Charavay explique que ce système permettra aussi de satisfaire
plus rapidement les demandes des firmes qui souhaitent d'avantage de paiements
partiels.
5. Intérêt d'une centrale d'achat au CERN (A. Lecomte)
A. Lecomte explique que I. Mardirossian prépare un Market Survey
pour une centrale d'achat au CERN.
Quelques chiffres (relatifs à l'année 96) permettent d'éclairer
le sujet :
-
On a répertorié 17'500 commandes d'une valeur inférieure
à 5'000 CHF pour un montant global d'achat de 25,5 MCHF.
-
99% concernent des fournitures, les 1% restants étant consacrés
à l'appui industriel.
-
10% sont des commandes uniques soit près de 1700 fournisseurs utilisés
chaque année.
-
53% sont inférieures à 1'000 CHF et 20% sont comprises entre
1'000 et 2'000 CHF.
Le principe est de sous-traiter tous les achats de moins de 5'000 CHF non
stratégiques qui représentent près de 80% du volume.
La centrale d'achat sera chargée notamment de :
-
la recherche du prix et du fournisseur;
-
la négociation;
-
le traitement administratif de la commande;
-
la réception et la vérification de la marchandise;
-
la livraison;
-
la facturation fournisseur;
-
la refacturation au CERN;
-
la gestion des stocks.
Ce système laissera plus de temps aux achats du CERN pour traiter
les commandes les plus complexes.
Cette centrale d'achat devrait être composée de 2 à
4 personnes installées sur le site. Elle se rémunérera
sur la marge réalisée par rapport aux prix payés en
96.
Le raisonnement de R. Perrin est le suivant : sur les 25 MCHF dépensés
chaque année pour des commandes de moins de 5'000 CHF, le CERN perd
de l'argent car il n'y a aucun appel d'offre pour identifier le fournisseur
le moins cher.
Les chefs de groupe redoutent cependant que ce système ne ralentisse
encore la procédure d'achat.
S'il trouve le principe intéressant, A. Lecomte émet cependant
des doutes sur le mode de rémunération de la centrale d'achat.
6. Divers
A. Scaramelli distribue les drafts des comptes rendus du Workshop de La
Mainaz.
La division SPL propose de réduire de 6 à 3 le nombre d'exemplaires
des bons de commande CERN.
Concrètement, les copies vertes seraient remplacées par
un E-Mail au demandeur.
Les chefs de groupe accueillent favorablement cette proposition.
-
Code d'activité dans les DAI
Une autre idée est lancée par la division SPL : rendre obligatoire
l'introduction du code d'activité dans les DAI.
La difficulté majeure réside dans le fait que ces codes
ne sont pas adaptés aux activités de la division.
A. Scaramelli demande par ailleurs aux chefs de groupe d'affecter leur
personnel au projet LHC et de vérifier avec discernement tous les
PPA.
M. Wilhelmsson représentera la division à cette réunion.
-
Ajustement des budgets en fin d'année (closed
session)
Sylvie Prodon
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Prodon
09/12/97