Présents : J. L. Baldy - R. Bellone - R. Charavay - A. Charkiewicz - P. Chevret - P. Ciriani - A. Lecomte - S. Prodon - J. Roche - A. Scaramelli - M. Wilhelmsson
Invité : R. Principe
A. Scaramelli regrette que la nommination de K. Foraz comme coordinatrice des estimations ait eu lieu trop tard car des estimations sur le projet LHC avaient déjà été envoyées. A l'avenir, la centralisation des estimations devra se faire plus tôt.
R. Bellone signale que son groupe a été contacté par M. Arnaud pour la réalisation d'une étude. Le groupe HM a un ingénieur disponible pour réaliser ce travail (B. Langer).
Il explique que la page TIS sur le Web (http://www.cern.ch/CERN/Divisions/TIS/home.html) est très complète. On y trouve :
Il pourrait être intéressant, pour les appels d'offres,
de faire référence à l'adresse http du document plutôt
que d'en envoyer la version papier. Cependant toutes les entreprises ne
sont pas connectées au Web ce qui pourrait créer des distorsions
de concurrence ....
J.L. Baldy signale qu'il existe pour les appels d'offres très
important un document intitulé PGCSPS, adapté à chaque
appel d'offres, qui fixe toutes les règles de sécurités
applicables. Ce document, signé par L. Evans, a été
joint à tous les appels d'offres pour le LHC.
Les TSO (Territorial Safety Officer) sont nommés par le chef
de division sur proposition du DSO.
Nota : un TSO peut dépendre de 2 divisions.
Les tâches principales du TSO sont :
R. Principe distribue la liste des TSO de la division. Ce document a
déjà été distribué aux safety linkmen.
Un problème se pose au bâtiment 212 (TCR) : la division
SL refuse que le TSO soit ST. P. Ciriani convient que la salle de contrôle
proprement dite ne comporte pas de danger particulier et que les installations
électriques SL sont beaucoup plus sensibles. Il est donc d'accord
pour que le TSO du bâtiment 212 soit quelqu'un de la division SL.
R. Bellone souhaite que le terme "ancien" soit retiré de la
description générale du bâtiment 939.
Il faut noter qu'il n'y a pas de TSO pour les routes et les parkings, ces zones sont sous la responsabilité du groupe TFM.
P. Ciriani redemande qu'un cahier des charges succint mais précis
des tâches des safety linkmen soit élaboré. En effet,
actuellement, les safety linkmen ne savent pas exactement quel est leur
rôle et ils ne servent, dans le meilleur des cas, que d'aide mémoire
en matière de sécurité pour le chef de groupe.
La structure ne doit pas être lourde et les réunions de
safety linkmen devraient être allégées au maximum.
Cependant un organigramme de la structure de sécurité
de la division avec les responsabilités de chacun semble s'imposer.
Au niveau des chiffres ST, les expériences se sont étonnées
du peu de support prévu.
En fait, cette réunion a démontré qu'il y a encore
beaucoup de confusions quant aux limites entre zones expérimentales
et expériences.
Les expériences souhaitent une plannification plus précise
: ils veulent même les noms des personnes affectées à
leur support.
La division ST ne peut aller jusqu'à un tel niveau de détail,
compte tenu des ressources disponibles.
P. Ciriani ajoute qu'une telle demande dénie tout concept de
contrat à obligation de résultat.
A. Scaramelli regrette que le manpower planning soit plutôt une affaire de négociation entre DPO plutôt que d'instructions du Management.
En fait, les chefs de groupe estiment que ce manpower planning ne rime à rien car :
A. Scaramelli souhaite également que les chefs de groupe ST marquent
de leur présence les réunions LHCTC.
Deux groupes de travail pour le LHC sont déjà lancés
:
A. Lecomte rappelle enfin qu'une journée sur la plannification du matériel est prévue le 23/03 mais le premier draft du Materials Planning sur 10 ans doit être prêt pour le 22 février.
B. Jenssen présente ensuite la situation des projets et les propositions
d'allocations pour 1998. Cependant, les groupes peuvent choisir une répartition
différente entre leurs projets.
P. Ciriani rappelle que 2 MCHF n'ont pas été dépensés
en 97. Il encourage les autres groupes à vérifier soigneusement
leur liste de projets pour ne proposer que les projets qui pourront être
réalisés dans l'année. Des accords entre groupes pourront
également intervenir en cours d'année. A. Lecomte propose
qu'une mise au point de la situation des projets soit organisée
au mois de juin.