Présents : B. Allardyce/PS - R. Bellone - R. Charavay
- P. Chevret - M. Comte/PPE - R. Feix - C. Girard - R. Haas/LHC - L. Henny
- A. Lecomte - S. Prodon - E. Roebuck - A. Scaramelli - D. Thieme - H.
Wahl/SL - M. Wilhelmsson - L. Yourassoff -
Excusés : J.L. Baldy - M. Brandenburger - P. Ciriani
- J. Kuhnl-Kinel - J. Pasquali - P. Pepinster
Il en ressort que le GSTC est très utile mais qu’il doit être écourté (1h / 1h15 serait l’idéal).
Les représentants proposent en ce sens que les tableaux de P. Chevret sur le suivi des projets en cours leur soient distribués quelques jours avant la réunion. Ainsi, seuls les travaux posant problème seront évoqués au cours de la réunion.
A. Scaramelli leur rappelle que le but du GSTC est d’avoir les services généraux les meilleurs possible et au meilleur coût.
Les représentants divisions font part de leurs remarques sur les prestations fournies par ST.
M. Comte déplore le coût élevé des estimations effectuées dans le cadre des contrats de base ST (voie verte). Il constate que la mise en concurrence permet de baisser fortement les prix.
La réponse de la division ST se décline en 2 points :
Il faut également noter que certaines entreprises bénéficiant d’un contrat cadre peuvent profiter de la méconnaissance technique du demandeur pour avancer des prix prohibitifs (ex : 1230 CHF pour 6 m2 de lino).
R. Charavay tient en outre à mettre en garde les représentants divisions à l’encontre des entreprises qui pratiqueraient des prix trop bas. Il convient d’abord de vérifier leur santé financière, notamment en cas de défauts constatés ultérieurement. Les coûts d’exploitation et de maintenance doivent absolument être pris en compte avant de choisir une firme.
La négociation directe avec les firmes titulaires du contrat cadre se justifie néanmoins parfaitement pour des travaux urgents ne comportant pas de difficultés techniques particulières (ex : peinture). Ce contact direct permet en effet de gagner beaucoup de temps.
M. Comte estime que la division ST devrait avoir un oeil critique non seulement sur le devis du contractant mais aussi sur la demande de l’utilisateur et sur le résultat (ex : cas de l’aménagement du secrétariat PPE).
Le cas des voies vertes est évoqué. Les divisions ont remarqué la nouvelle ligne sur le formulaire qui précise que, faute de personnel ST, la vérification de la facture et de la bonne exécution du travail est à la charge du demandeur.
A. Scaramelli demande que ces travaux soient au moins vérifiés par échantillon au niveau de la division ST afin d’éviter tout abus éventuel de la part des firmes.
La discussion s’axe ensuite sur le pouvoir de décision, notamment
sur le plan financier, du demandeur.
Certaines demandes entraînent des études approfondies
et/ou un supplément budgétaire. Le refus a posteriori du
responsable financier de la division concernée induit des coûts
pour ST qui a déjà lancé les études. De même,
à l’opposé, une facture nettement supérieure aux prévisions
pose des problèmes aux divisions.
La discussion s’amorce et la conclusion est que c’est à la division
ST de s’assurer que le demandeur a les garanties voulues (ex : signature
du chef de groupe).
A. Scaramelli tient à préciser que le rôle du GSTC
consiste notamment à traiter à temps des projets avant
qu’ils ne prennent une trop grande ampleur. Cette réunion devrait
permettre de centraliser les demandes des divisions et de débattre
de la pertinence de ces demandes ainsi que des solutions techniques à
envisager.
D’ailleurs H. Wahl reconnaît l’efficacité de cette réunion
pour éclaircir certains points (ex : climatisation amphi SPS).
Les représentants divisions souhaiteraient une sorte de « Users’ Guide » avec les noms des personnes ST à contacter pour chaque domaine. P. Chevret note que tous ces éléments sont normalement donnés dans le ST Info. Pour les demandes de travaux, le numéro actuel centralisé est le 77777.
P. Chevret fait le point sur les projets en cours (voir documents annexés).
La 2ème phase (bâtiment de service) est en cours.
L. Henny tient à connaître les mesures qui seront prises pour le contrôle d’accès : le Microcosm ne doit pas constituer une entrée libre sur le domaine du CERN.
R. Feix explique que le projet initial comporte une sortie de secours côté Salève mais que l’entrée s’effectue toujours via le bâtiment 33.
Si l’on estime que le Microcosm doit être indépendant du reste du CERN, il faudrait une porte indépendante sur le parking.
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