Présents : A. Alvarez - J.L. Baldy - M. Bätz - J. Blondel - A. Calderone - C. Colloca - A. Funken - J. Inigo-Golfin - C. Jacot - G. Kowalik - J. Pedersen - B. Pirollet - J. Roche - A. Scaramelli - L. Scibile - W. van Baaren - M. Wilhelmsson
Excusés : R. Bellone - D. Blanc - E. Cennini - R. Charavay - P. Chevret - P. Ciriani - P. Collier / SL - K. Foraz - H. Laeger - P. Ninin - M. Nonis - R. Nunes - R. Parker - W. Van Cauter - T. Watson
Invités : R. Bailey / SL - G. Cyvoct /PS - M. Lindroos
/ PS
A. Scaramelli signale un nouvel incident avec de l'huile dans le LEP.7.3. Oil sources
Les coûts de l'opération s'élèvent à 500 KCHF, principalement pour les travaux de climatisation et d'électricité de la TCR.
Les travaux se dérouleront du 1er juillet 1999 au 30 janvier
2000. La TCR sera de nouveau opérationnelle à partir du 17
décembre.
La phase 1 du 'Milestone plan' (Etude) est achevée.
La première étape de la phase 2 ('Divisional Y2K readiness
report') doit être terminée pour le mois d'août.
Cette deuxième phase concerne tous les groupes: chacun doit
vérifier la fiabilité de ses équipements.
Toutes les dépendances ont été répertoriées
et vérifiées et des solutions temporaires ont été
envisagées (tableau).
En cas de problèmes dans les zones contrôlées,
les pompiers seront envoyés sur place en dernier recours.
L'étude de la faisabilité de cette dernière solution
(manque de capacité chez TIS-FB) n'est pas du ressort du Groupe
de travail ST.
Le tableau 'Bilan Diesel Jura depuis janvier '97' montre les nombreuses pannes du réseau assuré, dont la dernière s'est produite à la mi-juin 1999.
Conclusion: la situation actuelle n'est pas acceptable et nécessite une étude approfondie, dont les résultats son escomptés pour la fin de l'année.
A. Scaramelli fait remarquer que le CERN dispose de deux réseaux interconnectés (CH et F) et d'une alimentation depuis les communes, plus professionnelle que ce que le CERN peut fournir.
G. Kowalik signale qu'une panne internationale peut se produire et que les règles (INB entre autres) imposent le fonctionnement assuré de certaines alimentations.
C. Jacot se demande combien de pannes du réseau 400 kV arrivent
réellement en Europe.
Il propose par ailleurs de redéfinir les besoins.
J. Pedersen suggère d'analyser la nécessité des
équipements actuellement sur le réseau assuré, ainsi
que leurs charges.
Lien sur le Web de l'efficacité du SPS en 1999: http://nicewww.cern.ch/sl/opnews/stat/effi.gifSPS
L'efficacité pour la physique a atteint 78% et monte encore (objectif:
80% d'efficacité, ce qui correspond à 20 h de physique par
jour).
Dans l'ensemble, les clients sont contents.
Cependant, de nombreux problèmes sont survenus depuis la dernière
fois.
A. Scaramelli signale que tous les problèmes listés ne
sont pas dus à la Division ST.
Au sujet des 'Storms', G. Kowalik explique qu'il y a déséquilibre
à chaque orage.
Efficacité et luminosité du LEP en 1999: http://nicewww.cern.ch/sl/opnews/stat/lumiday.gifLEP
Depuis le 8 juin, le LEP fonctionne à 98 GeV par jour. But de
l'année: monter vers 100 GeV.
Des luminosités (= mesure du nombre d'événements)
de plus de 1032 cm-2s-1
et de plus de 3.5 pb-1 par jour ont été
atteintes.
Beaucoup d'arrêts sont cependant à signaler, particulièrement
à cause de la cryogénie.
A chaque arrêt, la machine est stoppée pendant 12 heures.
Au total, la machine a été arrêté pendant environ 30% du temps.
L'arrêt du 9 juillet, lié à l'eau de refroidissement,
est dû au transformateur 2 MVA du Point 6, qui souffre de la température
extérieure.
Un écran contre le soleil a déjà été
placé, ainsi qu'un ventilateur supplémentaire. Il faudrait
le remplacer ou mettre un transformateur de réserve.
Les deux fuites d'eau déminéralisée de l'Anneau PS dans le secteur du bâtiment 359, survenues le 9 et 10 juin, sont dues à un problème de radiofréquence et au circuit de refroidissement.
La station d'eau déminéralisée PS "TT2" est arrêtée plusieurs fois.
Cinq ouvrages ont été choisis comme cibles de cette analyse (191-192, 376, 30, 274 et Pont ISR), tous construits entre 1968 et 1971 et situés sur le Site de Meyrin.Bâtiments cibles
Sur tous ces ouvrages on constate le détachement ou l'éclatement du béton au droit des armatures, ainsi que des micro fissures, provoquant la corrosion des armatures (réduction des sections) et des passages d'eau.
L'absence de problèmes structuraux et statiques nécessite l'établissement d'une priorité d'intervention sur la base de quatre critères:
Le processus de traitement est mené en deux étapes :Traitement
Le traitement électrochimique n'est pas envisagé, car trop coûteux (> 500 CHF/m2).
J.-L. Baldy émet quelques doutes quant au traitement 'maxi'. A son avis, le traitement 'mini' suffirait.
A. Scaramelli propose de faire le point en octobre.
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