CERN/ST-DI/SP (2000-072) |
2 avril 2000
|
ST TECHNICAL COMMITTEE (STTC)
Compte rendu n° 32 de la réunion du 20/03/2000
Présents |
:
|
A. Alvarez, J.L. Baldy, M. Batz, D. Blanc, P.
Ciriani, J. Inigo-Golfin, G. Kowalik, J. Kuhnl-Kinel, H. Laeger, P. Ninin,
M. Nonis, S. Prodon, J. Roche, A. Scaramelli, J. Senouf, M. Wilhelmsson
/ ST
D. Geugnon / PS |
Invités |
:
|
M. Lemaitre, K. Skelton / ST |
Excusés |
:
|
I. Bejar Alonso, R. Bellone, A.
Calderone, E. Cennini, R. Charavay, P. Chevret, K. Foraz, C. Jacot, R.
Nunes, R. Parker, J. Pedersen, B. Pirollet, E. Sanchez-Corral, L. Scibile,
W. Van Cauter, T. Watson / ST
P. Collier / SL |
1. Approbation du compte rendu n°31
Le compte rendu n° 31 est approuvé.
2. Matters arising from the last meeting
2.1. Web Lecture
Le système doit encore être perfectionné, en particulier
l'éclairage et la sonorisation.
A. Alvarez présente les événements majeurs qui se
sont produits entre le 29/02 et le 19/03.
3.1. Coupure chaudière Meyrin à cause d'un interlock gaz
(23/02)
Un interlock de détection gaz sur la station 1A a provoqué
une coupure du réseau 18 kV et de la chaudière de Meyrin.
La solution a consisté à ponter la centrale gaz supprimant
ainsi temporairement le système de sécurité. Le problème
a finalement été résolu 3 à 4 jours plus tard
par un rechargement du soft. Le bug n'a cependant pas été
identifié et risque donc de réapparaître.
3.2. Déclenchement électrique aux ISR (29/02)
Des travaux sur les arrêts d'urgence ont provoqué quelques
heures de coupure sur toute la zone ISR.
3.3. Arrêt des installations cryogéniques sur le site 4 du
SPS (29/02)
Un arrêt STP5 a été demandé par le groupe EL
et une note de coupure a été établie. Cependant les
responsables de la cryogénie n'ont pas appréhendé
les conséquences de cette coupure sur les systèmes de refroidissement
et n'ont donc pas arrêté correctement leurs installations.
3.4. Coupure électrique au bâtiment 212 (02/03)
Le transfert de l'UPS à la TCR a provoqué l'arrêt de
la chaudière et une coupure du réseau secouru et de tous
les réseaux informatique au bâtiment 104.
M. Batz explique que certaines liaisons n'étaient pas documentées.
3.5. Perturbation électrique BE (02/03)
Des perturbations électriques ont été provoquées
par un auto-transfert intempestif du BE. G. Kowalik explique qu'il s'agissait
plutôt d'une fausse manoeuvre de l'opérateur.
Les conséquences se sont traduites par des coupures électriques
généralisées sur le site.
3.6. Déclenchement de la cryogénie au BA4 (02/03)
Le déclenchement de la cryogénie au BA4 est dû à
un problème de communication entre le CAS et le TDS.
3.7. Déclenchement électrique sur la boucle stable zone nord
(19/03)
Un arrêt d'urgence dans le hall HN1 a provoqué un déclenchement
de la boucle stable zone nord. La solution a consisté à inhiber
l'arrêt d'urgence.
G. Kowalik indique que cet arrêt d'urgence particulier (affecté
à une porte d'accès) n'est pas sous la responsabilité
du groupe EL, mais du groupe AA. Le groupe EL n'a d'ailleurs pas été
avisé que des travaux étaient prévus sur cette porte.
A l'avenir, ce type de problème devrait être résolu
en confiant au groupe EL la responsabilité de tous
les arrêts d'urgence. Les groupes ayant des interventions à
effectuer devront avertir le groupe EL qui procédera à l'inhibition
de l'arrêt d'urgence.
Ce déclenchement électrique a occasionné quelques
difficultés pour le groupe SL/CO dont beaucoup d'équipements
de contrôle ne sont pas alimentés par le réseau secouru.
4. Opération des machines (D. Gueugnon)
4.1. Remarques vis à vis de ST
Le PS est actuellement dans une phase de start-up. D. Gueugnon fait part
de quelques remarques du PS relatives à ST :
-
Eau : la nouvelle station d'eau déminéralisée
du booster entraîne une pression supérieure à celle
enregistrée auparavant. Ceci pose quelques problèmes sur
certains équipements.
J.Kuhnl-Kinel explique que cette pression élevée est
due à une augmentation de puissance. Ceci a été expliqué
dans une note technique de W. Van Cauter distribuée il y a plus
d'un an aux personnes concernées.
-
Electricité : Un problème réseau sur
le PSB est à noter. G. Kowalik explique qu'aucun changement n'a
été opéré pendant le shut-down et qu'il s'agit
de la même configuration que l'année passée. Le problème
est donc du ressort du groupe PO.
4.2. Démarrage du PS
D. Gueugnon fait le point sur le démarrage du PS et les principaux
problèmes rencontrés :
-
Un problème de contrôle sur le TG8 constitue l'élément
majeur de ce démarrage. Des modifications ont été
effectuées pendant le shut-down sur 250 cartess afin de supprimer
un certain nombre de bugs. Mais il s'est avéré au démarrage
que le timing était inexistant si bien que toutes les nouvelles
cartes ont dû être rechangées. Ce problème n'a
pas d'incidence sur le planning.
-
Par contre l'expérience AD a 8 jours de retard et ne débutera
que le 10/04.
Le premier faisceau vers le SPS est prévu vendredi 24/03. P. Ciriani
annonce qu'il a été décidé que les EJP seraient
rachetés à partir de cette date.
4.3. Futur
Des discussions sont intervenues avec J. Kuhnl-Kinel pour que désormais
les pannes relatives à l'eau soient mieux identifiées. Ainsi,
une note sera distribuée aux opérateurs afin qu'ils fassent
la distinction entre les pannes imputables a ST et celles imputables au
PS. La responsabilité ST s'arrête en effet a la vanne d'isolement.
5. Compte rendu des principaux sujets développés dans le
comité SLOC (M. Bätz)
M. Bätz est le représentant ST au SLOC. Cette réunion
remplace le SLTC et le SL Performance Committee. Il en détaille
le mandat :
-
thèmes relatifs à l'opération des accélérateurs,
-
revue des performances,
-
revue et suivi des problèmes techniques,
-
études sur les machines,
-
opération future des deux machines,
-
présentations ST sur les événements majeurs.
L'agenda comprend généralement :
-
le rapport d'opération SPS et LEP,
-
des sujets spéciaux.
M. Bätz évoque ensuite les sujets abordés lors des dernières
réunions SLOC :
-
Avancement des travaux génie civil,
-
Le déplacement du tunnel SPS dû aux travaux génie civil
se cantonne pour l'instant dans des normes raisonnables. La division SL
semble attendre les effets mesurables sur le terrain, plutôt que
de se fier aux prévisions génie civil.
-
BA1 : le problème de planning génie civil a été
résolu.
-
La division SL est indisposée par la longueur des travaux sur le
système d'accès SPS.
A. Scaramelli demande à M. Bätz d'inviter les spécialistes
ST concernés, en fonction des sujets traités.
M. Bätz souhaite également être averti de tous les
travaux planifiés.
Il est essentiel que la division ST soit toujours représentée
a ces réunions. Les suppléants de M. Bätz sont R. Principe
et G. Kowalik.
Par ailleurs le mandat et la composition du nouveau SLTC ont été
distribués aux chefs de groupe.
6. Système informatique de gestion financière des chantiers
génie civil (K. Skelton)
The civil engineering financial follow-up system provides different types
of information:
-
cashflows: showing evolution of cost for each package and each contract,
-
tender forecast,
-
progress of payment,
-
forecast: variation already known and in the pipeline,
-
detailled information,
-
tenders,
-
proposed variation (until agreed),
-
claims,
-
etc.
This system mainly allows to:
-
point out divergencies,
-
draw up budget forecast,
-
identify the reasons of cost changes,
-
inform the hierarchy.
K. Skelton explains that this system is very flexible and should be exportable
in a more simplified version to other ST groups.
A. Scaramelli précise qu'il n'existe actuellement aucun instrument
permettant de mesurer le coût du LHC et de donner des réponses
précises à la hiérarchie. Grâce à ce
système, le groupe CE connaît parfaitement la situation financière
actuelle de ses chantiers, de même que les conséquences futures
des décisions techniques prises.
Un instrument unique récapitulatif pourrait être mis en
place, chapeautant les suivis individuels effectués dans les groupes.
Il a donc été décidé de mettre en place
un groupe de travail chargé de trouver un système uniforme
pour la division pour un suivi budgétaire de tous les projets, notamment
le projet LHC. Ce groupe de travail est composé de : K. Skelton,
M. Nonis, J. Senouf et C. Bieri. Il préparera une proposition pour
une prochaine réunion des chefs de groupe.
7. Gérer une unité au CERN : présentation des projets
de management
Toutes ces présentations s'intègrent dans le cadre de la
formation en management "Gérer une unité au CERN". Cet enseignement
se déroule sur une année entière, émaillée
par trois séminaires, permettant le suivi d'un projet de gestion.
7.1. Optimisation du processus des demandes de travaux (M. Lemaitre)
(see transparencies)
7.1.1. Contexte et état actuel
La section travaux (TX) du groupe TFM est chargée de la gestion
des demandes de travaux. Elle a la particularité de ne disposer
d'aucun budget propre.
L'objectif annoncé par M. Lemaitre consiste à optimiser
le processus pour répondre au plus vite et le mieux possible aux
attentes des clients.
Le groupe a été restructuré en avril 99 et a fait
l'objet en 1999 de 682 demandes de travaux pour 5,4 MCHF.
7.1.2. Objectif à court terme (octobre 2000)
Etablissement de la 'charte de la section' en séminaire avec la
totalité du personnel de la section en clarifiant les points suivants
:
-
Quelle est la mission de la section ?
-
Description des rôles attribue aux personnes impliques dans les travaux.
-
Déroulement des différentes phases.
En résumé, qui fait quoi, comment et avec quels moyens ?
7.1.3. Objectifs à moyen terme : optimisation du processus des
demandes de travaux
Le processus actuel de demandes de travaux permet de mettre en évidence
une liste de points pour lesquels des optimisations de méthode de
travail sont envisageables :
-
Nombre de tâches mises en oeuvre dans la procédure (11 tâches).
-
Durée entre la réception de la demande de travaux (tâche
n° 1) et la proposition faite par la personne en charge de la demande
- le “pilote”- (tâche n° 6) qui est de 6 à 8 semaines
selon la nature et la difficulté du travail demandé.
-
Exécution d’un devis détaillé par le “pilote” avec
le soutien de l’entreprise sous contrat.
-
Transparence et compréhension par le demandeur du déroulement
du processus.
-
Cinq rendez-vous de chantier nécessaires.
Un recentrage du processus de demande de travaux autour du “pilote” permettrait
une meilleure réalisation de la liste de points évoqués
précédemment. Ce recentrage pourrait s’effectuer en accroissant
le rôle joué par le “pilote”, en faisant une évaluation
de l’état de dégradation du bâtiment tertiaire sur
lequel il aura à conduire les travaux. Il ne fera intervenir l’entreprise
sous contrat que plus tard, et le moins possible lors de l’étape
d’évaluation.
La solution permettant l’accroissement du rôle du “pilote” se
baserait sur une utilisation optimisée de son expertise humaine
que rendrait possible la mise à disposition d’une méthode
de “codification par expertise humaine” d’états de dégradation.
Qu’est-ce-que codifier par expertise humaine ?
Le bâtiment tertiaire peut être vu comme étant un
ensemble d’éléments distincts. Par exemple l’élément
“peinture”, l’élément “revêtement de sol”, l’élément
“crépi”, etc. Afin d’estimer l’état de dégradation
d’un élément, une échelle de dégradation peut
être établie. Elle se composera de niveaux, que l’on appellera
les “codes”. [2]
Ces “codes” se présentent sous la forme d’une description imagée
de l’état de dégradation d’un élément, exprimée
dans la langue de tous les jours.
Par exemple le code A de l’échelle sera choisi comme étant
“Bon état. Aucune observation à faire. Seuls les travaux
réguliers d’entretien doivent être exécutés.”
Le code B pourrait être “Dégradation moyenne. Le fonctionnement
de l’élément est assuré dans l’ensemble. Mais les
éléments observés sont d’état médiocre.
Il peut y avoir des effets d’entraînement sur les autres éléments.”
Le code C serait “Fin de durée de vie. Les performances ne sont
plus assurées dans leur ensemble, voire absentes. L’élément
ne peut plus être remis en état. Il doit être remplacé.
Il peut y avoir des effets d’entraînement sur d’autres éléments.”
La somme des codifications de chaque élément permet de
donner une idée rapide de l’état de dégradation des
structures sur lesquelles des travaux seraient à réaliser.
Ces estimations seront proches du devis que pourrait établir une
entreprise.
La figure 2 donne une idée du nouveau
processus de demande de travaux obtenu. La figure met en évidence
les points suivants :
-
Adaptation des travaux en fonction de la demande.
-
Réduction du nombre de tâches (7 tâches).
-
Réduction du nombre d’interventions de l’entreprise.
-
Absence d’exécution de devis par l’entreprise
-
Absence des métrés et contre-métrés.
-
Mise à disposition rapide d’une proposition de travaux au demandeur
(délais, coûts, description).
-
Meilleure transparence et compréhension du processus de demande
de travaux du demandeur grâce à la mise à disposition
de la “signature des travaux”.
-
Meilleure maîtrise des coûts. L’entreprise reçoit la
fiche d’exécution.
En ce qui concerne l'électricité, P. Ciriani explique que
le bordereau de prix constitue la base de travail pour le pilote qui doit
préparer lui-même l'estimation. Ce point a d'ailleurs été
pris en compte dans le nouvel appel d'offres du groupe EL dans lequel un
système de prix simplifié a été instauré.
J. Senouf et M. Lemaitre se concerteront pour harmoniser et uniformiser
leurs systèmes.
Il est essentiel que les pilotes établissent eux-mêmes
les estimations. En effet, si elles sont réalisées par l'entreprise,
le CERN n'est plus en mesure de gérer ses enveloppes.
7.1.4. Mesures à prendre
M. Lemaitre a pris note de toutes les suggestions émises au cours
de cette réunion. J. Senouf lui prodiguera des conseils sur les
différents outils à mettre en place.
Les surveillants de travaux établiront eux-mêmes les estimations
et une formation adéquate sera organisée à cet effet.
7.2. Building up the Works Section in the ST/CV Group (M. Nonis)
(see transparencies)
7.2.1. Contexte
M. Nonis est a la tête de la nouvelle section Travaux du groupe CV
depuis septembre 99.
La section est impliquée depuis l'EDR (Engineering Design Review)
jusqu'au passage du dossier à l'opération. Ses deux interlocuteurs
dans le groupe CV sont les sections Design et Opération. La section
Travaux est également en relation avec les autres groupes de la
division, d'autres divisions et avec le contractant.
P. Ciriani met en exergue la nécessité des contacts avec
la section Design. M. Nonis explique que la section Travaux est impliquée
avant la sortie des appels d'offres, pour prise de connaissance et commentaires,
au cours des différentes réunions prévues dans la
procédure. Il en est de même, plus tard, avec l'opération.
Quelques questions s'axent plus particulièrement sur le suivi
des travaux de contrôle. Les systèmes de contrôle échappent
à la procédure standard, avec une unité inclue dans
la section Design. Le suivi des travaux est alors assuré par la
section Design. M. Nonis ajoute que la section Opération analyse
tous les dossiers qui lui seront remis, y compris la partie contrôle.
7.2.2. Situation actuelle
De nombreux travaux débuteront en juillet. Contrairement aux habitudes,
ils vont s'échelonner sur une très longue période,
avec des besoins et des priorités différents.
La section devra faire face à tous ces travaux avec des ressources
limitées et peu de procédures existantes.
7.2.3. Objectifs
M. Nonis détaille ensuite les objectifs affichés pour son
projet de management :
-
être efficace à la fois dans les coûts et les délais,
-
optimiser la charge de travail,
-
maintenir une polyvalence au sein des équipes,
-
garder le contrôle des activités : il est important que chacun
connaisse les activités des autres et sache où trouver les
différentes informations.
7.2.4. Principaux axes de développement
M. Nonis a défini quatre axes principaux de développement
:
-
la structure de la section,
-
la polyvalence du personnel du groupe pour des question à la fois
techniques et de gestion,
-
une bonne organisation pour chaque projet,
-
la gestion des relations avec l'extérieur.
7.2.5. Structure de la section Travaux
Les superviseurs de travaux font l'objet d'une répartition géographique
par machine et par point, qu'il s'agisse de travaux de ventilation ou de
refroidissement (4 pour le LHC, 1 pour le SPS, 1 pour le PS).
Cette polyvalence des surveillants de travaux peut s'avérer
plutôt délicate. Mais ils disposent de la spécification
technique qui constitue une bonne base pour le suivi du chantier. D'autre
part, en fonction des projets, il est toujours possible de faire appel
ponctuellement à des personnes expérimentées dans
la discipline.
La structure fait apparaître également des coordinateurs
de travaux spécialisés.
7.2.6. Outils de suivi et d'information
Une série de réunions ont été instaurées
pour permettre un meilleur suivi des projets :
-
des réunions de section hebdomadaires,
-
des rapports périodiques mensuels,
-
des visites de chantier hebdomadaires,
-
un suivi des projets, notamment du coût, du planning, de l'avancement
et des interactions.
7.2.7. Templates
Une série de templates seront élaborés :
-
communication,
-
contrôle des plannings et des coûts,
-
suivi de projet,
-
manuel qualité,
-
fiche de fonction.
7.2.8. Planning
Les templates sont en cours de préparation et l'élaboration
des procédures qualité a débuté ce mois. Toute
la structure de la section doit être en place pour juillet 2000.
A. Scaramelli met l'accent sur les modifications de structure qui vont
intervenir au sein du groupe CV avec une baisse d'activité des sections
Design et Opération au profit de la section travaux.
7.3. How to prepare the TCR for the LHC era (M. Bätz)
(see transparencies)
L'objectif de M. Bätz consiste à préparer la TCR pour
l'opération :
-
pendant le démontage du LEP et l'installation du LHC,
-
au cours du fonctionnement du LHC.
7.3.1. Environnement
L'environnement est extrêmement changeant, en particulier les partenaires,
les équipements et les systèmes de contrôle. De plus,
les pannes ont un impact toujours plus important, avec une demande croissante
en matière de qualité.
7.3.2. Gains escomptés
M. Bätz se fixe comme objectifs généraux :
-
une diminution du nombre de pannes,
-
un recouvrement plus rapide des pannes : dans ce domaine, le rôle
de la TCR est très important,
-
un recours aux actions préventives, plutôt qu'aux mesures
correctives,
-
la satisfaction des opérateurs vis à vis de leur travail,
-
une optimisation du travail,
-
une qualité de service mesurable.
7.3.3. Travaux de préparation
Les travaux de préparation s'articuleront autour de 4 axes :
-
les relations avec les partenaires : mettre en place une convention client
- fournisseur avec une définition des obligations et des responsabilités,
des services à rendre et du niveau de qualité,
-
les services et la qualité : définition des méthodes
et moyens à mettre en place,
-
les software : le projet TIM,
-
la motivation et la performance des opérateurs : structure, formation,
optimisation du planning, second job.
7.3.4. Prochaines étapes
Il s'agira ainsi de préparer une description de projets détaillée,
de tirer un maximum d'enseignement des autres projets et groupes de travail
et d'impliquer toutes les personnes concernées.
7.3.5. Message à l'attention de la division LHC
M. Bätz souhaiterait que toutes les questions relatives à l'opération
du LHC soient évoquées dès maintenant. Ceci implique
une très grande coopération ainsi qu'une information de la
TCR.
Ainsi, quelle que soit la décision au niveau de la salle de
contrôle cryogénie, elle aura un impact sur la TCR. En effet,
tout système de surveillance de la cryogénie implique un
certain nombre d'outils à développer et donc un préavis
en conséquence.
Les systèmes cryogéniques comprennent en fait trois niveaux
:
-
le suivi des infrastructures liées à la cryogénie
: cette responsabilité pourrait être confiée à
ST,
-
la cryogénie de production : ces systèmes automatiques pourraient
être du ressort de ST,
-
la cryogénie en fond de puits dont la technologie est complètement
différente.
La question du vide est également en suspens.
La réflexion doit donc débuter dès maintenant.
Prochaine réunion le 8 mai à 15 h
|
Sylvie Prodon
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